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sourire à la vie
22 septembre 2006

le jazz..........

... j'aimerais tant vous faire écouter de la musique, du jazz..de la salsa.. ( au fait si vous avez une idée pour pouvoir mettre de la musique sur ce blog, je suis preneuse!!!) ...

..j'aime tout:de la bonne musique quand même..Comme RAY CHARLES: lui c'est la musique au fond de l'âme.; lorsque je l'entends chanter, je suis appaisée.. Et puis cet été j'ai eut de la chance d'aller au concert de DEEDEE BRIBGEWATER: un régal, pour l'ouie mais aussi pour la vue.. de l'humour en prime: adorable.

..Ah! si je pouvais vous mettre cette  chanson ou elle chante avec Ray Charles...on a l'impression que tout est facile pour eux... ça vient comme ça, simplement,avec le sourire , ce qui ne gâche rien.

Dee Dee Bridgewater (née le 27 mai 1950) est une chanteuse de jazz américaine.

Née à Memphis (Tennessee) sous le nom Denise Eileen Garret, elle grandit à Flint (Michigan). Son père, Matthew Garret, est un trompettiste de jazz et enseigne au collège de Manassas. Denise est très tôt baignée par le jazz. À 16 ans, elle intègre un trio de rock et rhythm and blues qui donne des concerts dans le Michigan. À partir de 18 ans, elle étudie à l'Université du Michigan, puis à l'Université de l'Illinois.

Elle fait de nombreux concerts avec son groupe de jazz, notamment en URSS en 1969. L'année suivante, elle rencontre le trompettiste Cecil Bridgewater, puis ils se marient avant d'emménager à New York, où son mari joue dans le groupe d'Horace Silver.

En 1971, Dee Dee Bridgewater intègre l'orchestre de Thad Jones et Mel Lewis en tant que chanteuse. C'est alors que sa carrière débute réellement, et elle commence à chanter avec les plus grands jazzmen du moment, comme Sonny Rollins, Dizzy Gillespie, Dexter Gordon ou encore Max Roach.

L'artiste sort son premier album, « Dee Dee Bridgewater », en 1974. La même année, elle chante dans la comédie musicale The Wizz, à Broadway. En 1975, elle joue le rôle de la bonne sorcière du nord dans la comédie musicale « Glinda the good witch », inspirée du Magicien d'Oz ; pour ce rôle, elle reçoit le prix de meilleure actrice du Tony Award. La comédie musicale remporte également le Grammy Award de la meilleure comédie musicale en 1976.

Après avoir joué en France la comédie musicale « Sophisticated ladies » en 1984, elle s'installe à Paris en 1986. La même année, on la voit jouer le rôle de Billie Holiday dans « Lady Day », pour lequel elle est nommée au prix Laurence Olivier. En 1989, elle obtient un succès avec la chanson Precious Things, chantée en duo avec Ray Charles.

Dès la fin des années 1980, elle se retourne vers le jazz, et donne notamment un concert au festival de jazz de Montreux en 1990. En 1994, elle collabore enfin avec Horace Silver, qu'elle admire depuis longtemps, pour l'album « Love and Peace : a tribute to Horace Silver ». Elle rend hommage à Ella Fitzgerald en 1997 à travers l'album « Dear Ella », pour lequel elle remporte le Grammy Award du meilleur album de jazz en 1998. La même année, son album « Live at Yoshi's » est également nommé pour le même prix.

En 2002, elle sort l'album « This is new », reprenant des chansons de Kurt Weill, puis en 2005 son album « J'ai deux amours » reprend des grands classiques français.

Dee Dee Bridgewater est la première Américaine à être membre du Haut Conseil de la Francophonie. Elle est aujourd'hui Chevalier de l'Ordre national du Mérite, ainsi qu'Officier des arts et des lettres.

Elle est la mère de trois enfants, Tulani Bridgewater (dont le père est son premier mari, Cecil Bridgewater), China Moses, aujourd'hui chanteuse de hip hop (dont le père est le réalisateur Gilbert Moses) et Gabriel Durand (dont le père est son actuel mari, le manager Jean-Marie Durand).

...Mais la salsa aussi me donne des frissons: surtout que je la danse: c'est carrément magique..

> ¡Cuba sí!

..Cuba est un peu trop connu par ses clichés comme son régime castriste, ses cigares havanais ou sa pauvreté mais, ce qu'on oublie beaucoup trop souvent c'est qu'avec la Jamaïque, Cuba est une île qui rayonne par son importance musicale à travers le monde.
En même temps que la sortie au
cinéma du film-documentaire de Wim Wenders, suivant Ry Cooder jazzman-producteur à la recherche d'artiste cubains, est sortie la bande-originale du film retraçant toute l'ambiance du film à travers quatorze titres de pur bonheur.
Ainsi, sur ce magnifique album, Ry Cooder à rassemblé de nombreux artistes qui faillirent tomber aux oubliettes et disparaître à jamais du patrimoine culturel cubain.
On retrouve sur ce disque des chansons de voyages, d'amour et nostalgiques où l'ensemble des artistes représentés ( Compay Segundo, Ibrahim Ferrer, Ruben Gonzalez…) offrent avec leur cœur et leur sensibilité toute la passion qui les animent.
Il y a dans cet album une tranquillité d'esprit, une douceur musicale qui, bien qu'on ne peut la voir, montre un plaisir certain à jouer, que ce soit au chant ou aux différents instruments comme le piano, les percussions, la guitare presque palpable.
Comme je ne peut absolument pas vous faire partager textuellement ce que l'on peut ressentir à l'écoute de cette Bande Originale, je vous invite tout simplement à aller l'écouter au disquaire le plus proche de chez vous car elle mérite franchement le détour tant pour son authenticité que pour sa qualité.  Vincent Lavigne

            

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