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sourire à la vie
19 septembre 2006

penséees...

un extrait d'un livre d'un homme dont j'aime beaucoup ses pensées:

les enfants par Khalil Gibran dans Le Prophète :(Le Jardin du Prophète est paru pour la première fois en 1933. Complétant Le Prophète, cet ouvrage met particulièrement l’accent sur la parenté de l’homme avec l’univers ; il nous décrit comment les petites et grandes choses de ce monde sont reliées les unes aux autres : la rosée et l’océan, le soleil et les lucioles…)

En 1902, Khalil Gibran s'exile définitivement de son pays, en principe autonome, mais de fait toujours sous le joug de la Sublime Porte. Dès les premières insurrections en Orient, avant la Grande Guerre, il nourrit des espoirs nationalistes, appelle à la révolution et n'hésite pas à sen prendre à l'élite levantine qui, après ses compromissions avec le régime ottoman, s'apprête à accepter le partage de l'Orient entre les puissances anglaise et française... Il ne cessera de rêver la liberté du Liban, tout en s'inquiétant de son devenir, dans ces poèmes polémiques, écrits entre 1911 et 1922. Impuissant prophète, Gibran vit s'évanouir l'idée d'un « Liban neuf et idéalisé » auquel il croyait.

donc voici un extrait...

voilà ce que j'aime découvrir au fils de mes découvertes sur le NET!!!

Khalil Gibran
KHALIL GIBRAN

Poète libanais
Né à Bcharré (Liban) en 1883
Décédé à New York en 1931

«La terre est ma patrie et l'humanité, ma famille»
Khalil Gibran

" Et une femme qui portait un enfant dans les bras dit, Parlez-nous des Enfants. Et il dit : Vos enfants ne sont pas vos enfants. Ils sont les fils et les filles de l’appel de la Vie à elle-même. Ils viennent à travers vous mais non de vous. Et bien qu’ils soient avec vous, ils ne vous appartiennent pas.Vous pouvez leur donner votre amour mais non point vos pensées, Car ils ont leurs propres pensées. Vous pouvez accueillir leurs corps mais pas leurs âmes, Car leurs âmes habitent la maison de demain, que vous ne pouvez visiter, pas même dans vos rêves. Vous pouvez vous efforcer d’être comme eux, mais ne tentez pas de les faire comme vous. Car la vie ne va pas en arrière, ni ne s’attarde avec hier.

Vous êtes les arcs par qui vos enfants, comme des flèches vivantes, sont projetés. L’Archer voit le but sur le chemin de l’infini, et Il vous tend de Sa puissance pour que Ses flèches puissent voler vite et loin. Que votre tension par la main de l’Archer soit pour la joie ; Car de même qu’Il aime la flèche qui vole, Il aime l’arc qui est stable."

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